Les moines tibétains qui méditent plus de deux heures par jour présentent une formule sanguine et une composition de la flore intestinale différentes de celles de leurs voisins laïcs qui vivent dans les mêmes conditions climatiques et ont un régime alimentaire similaire. La méditation semble avoir des effets positifs sur les facteurs de risque cardiovasculaires et sur le microbiome.